Le marché locatif français reste très tendu dans de nombreux bassins d’emploi : stocks bas, délais de relocation record, loyers sous pression. Le Projet de loi de finances 2026 (PLF 2026) esquisse un ensemble de leviers destinés à réactiver l’investissement et à fluidifier la mise en location : simplification du réel foncier, meilleure reconnaissance des travaux performants, trajectoire DPE plus lisible, et dispositifs d’amortissement ciblés côté neuf. L’enjeu : convertir l’intention en offres nouvelles réellement habitables, au bon loyer et avec des charges maîtrisées.
Dans cet article, nous passons en revue les mesures phares, leurs conditions d’efficacité, et les positions des acteurs de terrain (professionnels, fédérations). Vous trouverez aussi une méthode d’arbitrage et des cas chiffrés pour décider et agir. Pour confronter ces principes à des opportunités concrètes par ville/typologie, explorez Programmes (/programmes) et testez vos hypothèses dans le Simulateur (/simulateur).
Parcourez des opérations cœur de ville avec logements performants et calendrier compatible avec la mise en location rapide.
Découvrir les programmes ou tous nos ProgrammesLe PLF 2026 s’inscrit dans une logique de réalisme économique : il ne s’agit pas seulement de subventionner l’investissement, mais de récompenser les offres utiles au marché : logements sobres en énergie (DPE), charges maîtrisées, loyers cohérents. La demande reste profonde dans les zones desservies (transports/emplois/services) : capter cette demande exige d’aligner produit (qualité) × prix (loyer marché) × papier (documents carrés). Pour cartographier vos options par ville et typologie, parcourez Programmes (/programmes).
Le cœur du redémarrage côté ancien réside dans une meilleure imputation des travaux réellement performants (enveloppe, ventilation, chauffage sobre), permettant d’amortir le choc de trésorerie et de remettre sur le marché des logements mieux classés au DPE. Cela soutient la mise en location rapide et la stabilité des loyers. Pour estimer l’impact net (IR/PS/cash-flow) sur votre cas, passez par le Simulateur (/simulateur).
Sur le neuf, un amortissement forfaitaire du bâti (hors foncier) peut lisser l’assiette imposable au réel foncier. Couplé à des résidences RE2020 bien positionnées, il améliore la prévisibilité de la rentabilité et la capacité à proposer des loyers de marché. Comparez des lots standardisés (T1/T2/T3) dans Programmes (/programmes).
L’ajustement du DPE (calcul électricité) clarifie le statut énergétique de nombreux biens, réduisant le « risque réglementaire » pour l’investisseur et facilitant la relocation de logements auparavant borderline. Là encore, l’effet positif reste conditionné à une qualité d’enveloppe suffisante.
Retour récurrent : l’offre revient si le produit est clairement positionné (quartier, DPE, charges) et si le loyer est cohérent. Ils insistent sur la documentation (bail, état des lieux, diagnostics, quittances) qui sécurise les locations et réduit la vacance. Pour formaliser votre check-list documentaire, demandez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Leur avis converge : sans visibilité pluriannuelle sur les règles (amortissement, DPE, fiscalité des travaux) et sans réduction des coûts induits (normes excessives, délais), l’offre neuve redémarre lentement. D’où l’intérêt de résidences RE2020 standardisées et bien desservies, où la demande est profonde. Sélectionnez des actifs liquides via Programmes (/programmes) et évaluez leur trajectoire sur le Simulateur (/simulateur).
Les bailleurs soulignent trois déclencheurs : fiscalité lisible, DPE maîtrisé, gestion simplifiée (assurances, process locataire). Leur doctrine : pas de loyer hors marché, un mois de vacance prudente intégré à la simulation, et une sortie écrite (12–15 ans) pour arbitrer sereinement.
Un dispositif fiscal n’efface pas un mauvais actif. Privilégiez des immeubles avec charges contenues, une copropriété saine, des parties communes propres, une desserte réelle (transports/emplois/services). Le DPE doit être défendable et stable dans le temps. Faites une shortlist par ville/typologie via Programmes (/programmes).
30–50 € « de trop » sur le loyer allongent la vacance et dégradent le TRI. Positionnez-vous sur la médiane du quartier et soyez irréprochable sur les visuels, la description et les pièces (dossier locataire, garant/GLI au besoin). Mesurez la sensibilité loyer/vacance dans le Simulateur (/simulateur).
En VEFA, anticipez appels de fonds et intérêts intercalaires. En rénovation, séquencez les lots techniques (enveloppe → ventilation → chauffage) pour réduire la durée d’indisponibilité locative. Établissez un rétroplanning robuste et une réserve d’aléas de 5–10 %. Cadrez votre planning via une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Nous calibrons l’assiette, simulons la réduction par année, planifions les flux (appels de fonds, intérêts) et la mise en location.
Demander mon étude ou être rappeléRevenu net immédiat, retraite, diversification patrimoniale ? Votre horizon (7/12/15 ans) conditionne la stratégie. Cartographiez 2–3 actifs potentiels dans Programmes (/programmes).
Neuf RE2020 (visibilité charges/vacance) ou ancien re-performé (surcroît de rentabilité si travaux ciblés) ? Dans les deux cas, sécurisez un DPE durablement défendable.
Positionnez-vous sur la médiane, prévoyez 1 mois de vacance prudente, soignez la diffusion (photos, dossier). Testez l’impact sur le TRI dans le Simulateur (/simulateur).
Comparez micro vs réel. Avec intérêts + charges + travaux performants (ou amortissement du bâti côté neuf), le réel domine souvent. Faites tourner vos scénarios dans le Simulateur (/simulateur).
Réservez 5–10 % pour imprévus (chantier/VEFA). Synchronisez appels de fonds, réception et première mise en location.
Fixez vos seuils (€/m², TRI net, vacance max) et une fenêtre d’arbitrage (12–15 ans). Formalisez-les dans une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Hypothèses : achat 185 000 € ; travaux 28 000 € (enveloppe/ventilation/chauffage) ; loyer 720 €/mois ; charges 95 €/mois ; vacance 1 mois/an. Effet : DPE rehaussé, attractivité renforcée, vacance raccourcie. Le réel foncier + travaux permettent de lisser l’imposable les premières années, facilitant la remise sur le marché. Mesurez l’écart exact sur le Simulateur (/simulateur).
Hypothèses : prix acte 335 000 € (foncier 18 %) ; base amortissable 274 700 € ; loyer 1 150 €/mois ; charges 140 €/mois. Effet : amortissement du bâti (hors foncier) + charges/ intérêts → assiette imposable prévisible, loyer de marché soutenable, vacance structurellement courte.
Hypothèses : 3 × 155 000 € ; loyers 600–630 €/mois ; charges 70 € ; vacance 0,8–1 mois. Effet : mutualisation du risque de vacance, diffusion rapide, gestion standardisée. L’offre s’élargit vite si la documentation est carrée. Comparez quartiers et rendements via Programmes (/programmes) puis le Simulateur (/simulateur).
Renseignez prix, travaux, intérêts, loyer et vacance : visualisez impôt, cash-flow et TRI sur 10–15 ans.
Lancer la simulation ou voir les Programmes éligiblesPour verrouiller votre dossier et éviter ces pièges, sollicitez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee) et mettez vos hypothèses au banc d’essai via le Simulateur (/simulateur).
Le PLF 2026 peut contribuer à desserrer la pénurie s’il transforme l’intention d’investir en logements vraiment locables : produit performant (DPE), loyer cohérent, papier irréprochable et fiscalité alignée sur l’économie du bien. Pour l’investisseur, la meilleure réponse est méthodique : sourcer des actifs profonds, simuler finement, exécuter des travaux à impact, et garder une discipline de gestion. C’est ainsi que l’offre privée peut réellement revenir sur le marché en 2026.
Besoin d’un cadrage pas à pas ? Comparez des opérations sur Programmes (/programmes), chiffre vos scénarios multi-annuels dans le Simulateur (/simulateur) et demandez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee). Une question précise ? Prenez Contact (/contact).
Un expert valide votre périmètre, la faisabilité, le calendrier et la stratégie de mise en location.
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