En France, le déficit foncier occupe une place à part dans la boîte à outils de l’investisseur immobilier. À l’heure où le marché se rééquilibre et où la performance énergétique devient centrale, ce dispositif permet d’imputer des charges de travaux sur les revenus fonciers (puis, au-delà d’un seuil, sur le revenu global), tout en remettant à niveau des logements pour une mise en location durable. Résultat : une approche qui combine optimisation fiscale, valorisation du patrimoine et contribution à l’offre locative. Pour visualiser des opérations adaptées (typologies, villes, budgets), explorez Programmes (/programmes). Pour quantifier l’impact selon votre TMI et votre calendrier, testez le Simulateur (/simulateur).
Parcourez des opérations cœur de ville avec travaux éligibles, lots à rénover et calendrier compatible avec l’avantage fiscal.
Découvrir les programmes ou tous nos ProgrammesTrois raisons principales expliquent l’attractivité française. D’abord, un parc ancien vaste, avec un potentiel de rénovation élevé (confort, sécurité, performance énergétique) et une demande locative soutenue dans de nombreuses villes. Ensuite, un cadre fiscal qui récompense l’effort de remise à niveau via l’imputation des charges et la possibilité de gommer une partie des revenus fonciers. Enfin, une logique publique qui encourage la mise sur le marché de logements décents, en cohérence avec la transition énergétique. Pour identifier des biens alignés (localisation, typologies, calendrier de travaux), consultez Programmes (/programmes).
Le déficit foncier est le solde négatif entre vos revenus fonciers (loyers perçus) et vos charges déductibles (travaux éligibles, intérêts d’emprunt, frais de gestion, assurances, taxes…). Lorsque les charges excèdent les loyers, vous créez un déficit imputable d’abord sur vos revenus fonciers, puis sur le revenu global dans une certaine limite. C’est un levier puissant pour réduire l’impôt tout en valorisant votre actif. Pour estimer votre potentiel d’imputation, utilisez le Simulateur (/simulateur).
De manière générale, les travaux d’entretien, de réparation et d’amélioration sont déductibles, dès lors qu’ils visent à maintenir ou améliorer l’usage du bien (sécurité, salubrité, performance énergétique) sans en modifier la structure fondamentale. En revanche, les dépenses de construction, reconstruction ou agrandissement relèvent d’un traitement différent. L’enjeu pour l’investisseur est de qualifier précisément chaque poste (devis, factures détaillées, diagnostics). Pour cadrer la liste des postes pertinents, demandez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Le micro-foncier applique un abattement forfaitaire simple, utile si vos charges sont limitées. Le régime réel, lui, permet de déduire l’intégralité des charges éligibles et donc de générer du déficit. Pour un projet à travaux, le réel est souvent plus pertinent. Pour arbitrer selon votre TMI et l’ampleur des travaux, passez par le Simulateur (/simulateur).
L’avantage attaché au déficit foncier suppose une mise en location effective du bien, avec un bail conforme et des loyers en phase avec le marché. Le calendrier (achèvement des travaux, entrée du locataire) doit être maîtrisé pour éviter une vacance trop longue qui fragilise la rentabilité. Pour dimensionner un loyer prudent et cohérent, prenez appui sur le Simulateur (/simulateur) et sur des exemples comparables disponibles dans Programmes (/programmes).
Un dossier solide repose sur des devis détaillés, des factures nominatives, des photos avant/après, ainsi qu’une preuve de performance (diagnostics, fiches techniques). Cette traçabilité sécurise l’imputation des charges, limite les risques de requalification et facilitle la revente à terme. Besoin d’un cadrage poste par poste ? Demandez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
La valeur locative et la liquidité d’un actif rénové dépendent de plus en plus de son DPE, de son confort d’usage et de ses charges maîtrisées. Visez des “sauts de classes” (isolation, ventilation, chauffage) et documentez chaque étape. Les opérations qui intègrent cette logique se retrouvent plus facilement dans Programmes (/programmes).
Nous calibrons l’assiette, simulons la réduction par année, planifions les flux (appels de fonds, intérêts) et la mise en location.
Demander mon étude ou être rappeléListez exhaustivement vos postes : entretien (toiture, parties communes au prorata), réparation (remise en état), amélioration (performance énergétique, sécurité), frais de gestion, assurances, taxes. Séparez clairement la part “travaux” de la part “frais financiers” pour piloter le résultat. Un tableau de suivi mensuel/annuel facilite la preuve et la modélisation. Pour vérifier l’impact des différentes lignes sur votre impôt, utilisez le Simulateur (/simulateur).
Le déficit est d’abord imputé sur vos revenus fonciers ; le surplus, selon les règles en vigueur, peut s’imputer sur le revenu global dans une limite annuelle. L’excédent restant est reportable sur les années suivantes. L’objectif est de lisser votre charge fiscale pendant les années de travaux et d’aligner votre imposition sur la réalité économique du projet. Pour calibrer les montants année par année, passez par une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Planifiez votre échéancier de travaux (devis, acomptes, solde) et la première mise en location pour activer au plus tôt le mécanisme. Un retard de livraison peut décaler l’imputation et la perception des loyers ; prévoyez une marge de sécurité dans votre plan de trésorerie. Pour vérifier la robustesse de votre calendrier, confrontez-le au Simulateur (/simulateur).
Hypothèse : prix 180 000 €, frais 12 000 €, travaux éligibles 35 000 €, loyer cible 690 €/mois. Les premières années, les charges (travaux + intérêts) génèrent un déficit qui réduit l’impôt et rapproche l’assiette du flux économique réel. À horizon 15 ans, l’impôt remonte doucement à mesure que les travaux cessent, mais le DPE et le confort soutiennent la valeur locative. Pour tester la sensibilité (loyer ±50 €, vacance d’1 mois), utilisez le Simulateur (/simulateur).
Hypothèse : 4 studios en pôle universitaire, achat moyen 135 000 € par lot, travaux 20 000 € par lot, loyers 520–560 €/mois. Objectif : cash-flow neutre sur 3 ans, puis positif grâce à l’indexation et à la stabilisation des charges. La standardisation réduit le risque de dépassement, la vacance est mutualisée sur le portefeuille. Dimensionnez l’impact de 1 mois de vacance par an via le Simulateur (/simulateur).
Hypothèse : revente à n+18 ans. La rénovation performante améliore la liquidité, tandis qu’une détention longue peut optimiser la sortie. Alternative : conserver 2 lots pour un flux retraite et vendre 2 lots pour réduire l’endettement. Pour tracer la trajectoire la plus efficiente fiscalement, sollicitez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Renseignez les paramètres clés (travaux, échéancier, profil fiscal) et visualisez l’avantage par année et l’impact sur la trésorerie.
Lancer la simulation ou voir les Programmes éligiblesLa combinaison d’un parc ancien profond, d’une demande locative robuste, et d’un cadre fiscal qui valorise les travaux fait de la France une terre d’investissement privilégiée pour le déficit foncier. Pour un particulier, l’équation gagnante passe par un actif bien situé, des travaux pertinents, un loyer cohérent et une gestion disciplinée. Pour un investisseur patrimonial, l’enjeu est d’industrialiser : lots standardisés, CAPEX groupés, KPI réguliers et plan de sortie écrit. Dans tous les cas, la clé est d’anticiper : sélectionner le bon bien, séquencer les travaux, paramétrer le régime fiscal et sécuriser la trésorerie.
Pour passer à l’action, comparez les opportunités en cours via Programmes (/programmes). Chiffrez vos hypothèses avec le Simulateur (/simulateur). Et pour un plan pas à pas, obtenez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
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