À l’horizon 2026, les pistes de la loi de finances envisagent un renforcement du déficit foncier fléché vers des travaux réellement performants (gain de DPE, baisse durable des charges, décabonation du chauffage). L’idée : donner plus de capacité de déduction aux bailleurs qui réhabilitent profondément leurs logements, afin d’aligner la fiscalité sur l’économie réelle du parc locatif. Concrètement, cela pourrait se traduire par un plafond de déduction relevé et/ou par une meilleure articulation avec les intérêts d’emprunt et les autres charges au régime réel.
Dans ce guide, nous expliquons le principe, les conditions pressenties, la méthode de montage, puis nous présentons des cas chiffrés et une check-list pour passer à l’action. Pour confronter ces axes à des opportunités concrètes, explorez Programmes (/programmes) et simulez vos hypothèses sur le Simulateur (/simulateur).
Parcourez des opérations cœur de ville avec rénovation performante et calendrier compatible avec l’avantage fiscal.
Découvrir les programmes ou tous nos ProgrammesLe sens 2026 est clair : payer moins d’impôt quand on améliore réellement le logement. Le futur « super déficit foncier » s’inscrirait dans une stratégie publique de massification des rénovations performantes, en donnant un levier fiscal plus lisible aux propriétaires bailleurs. La finalité n’est pas de subventionner un simple rafraîchissement, mais de financer des travaux utiles qui réduisent la consommation, la facture énergétique et la vacance locative. Pour identifier des opérations où la réhabilitation est structurée (planning, corps d’état, réception), appuyez-vous sur Programmes (/programmes).
En régime réel, les charges déductibles (travaux éligibles, assurances, gestion, taxe foncière, intérêts…) s’imputent sur vos revenus fonciers. Si elles dépassent vos loyers, vous créez un déficit foncier qui s’impute (dans des limites spécifiques) sur votre revenu global, le solde étant reportable. Le futur cadre 2026 viserait à renforcer ce mécanisme pour les travaux performants.
L’idée : augmenter la capacité d’imputation (plafond, modalités) lorsque les travaux atteignent des résultats mesurables (saut de classe DPE, isolation de l’enveloppe, ventilation, chauffage décarboné), et mieux articuler cette imputation avec les intérêts d’emprunt. L’objectif est que l’avantage fiscal suive la réalité technique et économique de la rénovation.
Le coeur porte sur les travaux dits “structurels et énergétiques” : isolation (murs/toiture/planchers), menuiseries performantes, ventilation, systèmes de chauffage/production d’ECS décarbonés, pilotage et équilibrage. À l’inverse, les dépenses purement esthétiques ont un impact limité sur l’assiette. Pour bâtir un devis conforme et traçable, engagez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
La force du montage repose sur un dossier technique carré : diagnostics, devis détaillés par poste, factures nominatives, photos datées, attestations de conformité. C’est ce qui sécurise l’imputation et la pérennité fiscale. Pour cadrer votre “papier”, demandez une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Planifier, c’est gagner : séquencer les travaux, l’indisponibilité locative, les appels de fonds, et l’entrée en location. Un planning réaliste protège votre cash-flow et vos échéances bancaires. Modélisez le calendrier dans le Simulateur (/simulateur) et sélectionnez des biens adaptés dans Programmes (/programmes).
Nous calibrons l’assiette, simulons la réduction par année, planifions les flux (appels de fonds, intérêts) et la mise en location.
Demander mon étude ou être rappeléEn réel, on regroupe : travaux éligibles (lourds/performants), intérêts d’emprunt, assurances, gestion, copropriété, taxe foncière, diagnostics. L’hypothèse 2026 vise à renforcer la capacité d’imputation pour les lots dont les travaux cochent les bons critères (performance énergétique, sécurité, salubrité).
Classiquement, les charges (dont intérêts) s’imputent sur les loyers ; l’excédent crée un déficit : une partie imputable sur le revenu global (plafond) et un solde reportable sur les fonciers futurs. Le “super” mécanisme permettrait de maximiser l’usage de cette mécanique lorsque l’on réalise des travaux performants, en rapprochant l’impôt du flux économique réel.
L’objectif n’est pas le “zéro impôt” abstrait, mais un cash-flow maîtrisé pendant la phase de travaux et une valeur locative durable au redémarrage (loyer de marché, vacance raccourcie, charges contenues). Simulez année par année dans le Simulateur (/simulateur).
Visez des biens à fort potentiel d’amélioration : enveloppe isolable, plan rationnel, copropriété saine, emplacement profond (transports/emplois/services). L’objectif : obtenir un saut DPE crédible et une diminution de charges. Pour sourcer des actifs solides, consultez Programmes (/programmes).
Un loyer trop ambitieux prolonge la vacance et casse le TRI. Fixez un loyer cohérent avec le quartier, valorisez la rénovation (photos/équipements sobres) et prévoyez 1 mois de vacance la première année.
Séquencez par lots techniques (enveloppe, ventilation, chauffage) pour optimiser les délais et les coûts. Anticipez les autorisations (copropriété/mairie) et les fenêtres d’intervention (périodes moins coûteuses). Modélisez votre échéancier et vos appels de fonds dans le Simulateur (/simulateur).
Écrivez dès l’origine le scénario conserver vs arbitrer : seuils €/m², rendement net visé, horizon 10–15 ans. Formalisez vos seuils et vos KPI (occupation, loyer net, dérive charges) dans une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Données : prix 185 000 € ; travaux performants 32 000 € (isolation, ventilation, chauffage) ; frais 13 000 € ; loyer cible 700 €/mois ; charges 90 €/mois ; intérêts 4 100 €/an. Effet attendu : imputation des travaux + intérêts + charges ; création d’un déficit foncier la 1re année (part imputable revenu global dans le plafond, solde reportable). Sensibilités : loyer ±30 €, vacance 1 mois, dérive travaux +5 % → impact sur le TRI à tester dans le Simulateur (/simulateur).
Données : deux T2 dans la même copropriété ; travaux par tranches pour lisser la vacance ; budget technique 60 000 €. Effet : deux années successives de déficit, permettant de lisser l’imposable tout en remontant la valeur locative. Point clé : timing des chantiers vs échéances bancaires. Planifiez l’échéancier dans le Simulateur (/simulateur) et comparez d’autres résidences dans Programmes (/programmes).
Données : T3 classé F→C après rénovation (enveloppe + menuiseries + PAC/ECs). Effet : charges d’énergie en baisse, attractivité renforcée, vacance réduite. L’avantage fiscal suit l’effort technique ; la valeur à la revente (et le loyer soutenable) s’en trouvent mieux ancrés. Validez votre scénario via une Étude personnalisée (/etude-personnalisee).
Renseignez travaux, intérêts, loyer et calendrier ; visualisez l’imputation, l’impôt et la trésorerie année par année.
Lancer la simulation ou voir les Programmes éligiblesLe « super déficit foncier » annoncé va dans le sens d’un investissement utile : moins d’impôt si vous rénovez vraiment votre logement pour le rendre plus sobre, plus sain et plus liquide sur le marché locatif. En structurant votre dossier (produit, devis, planning, loyer, sortie) et en pilotant vos flux au réel, vous pouvez financer une part importante des travaux par l’économie d’impôt et la valeur locative créée. La clé : une sélection rigoureuse, une exécution carrée et un suivi discipliné.
Pour passer à l’action : shortlist dans Programmes (/programmes), chiffrage sur le Simulateur (/simulateur), cadrage des pièces et du calendrier via une Étude personnalisée (/etude-personnalisee). Une question pointue ? Prenez Contact (/contact).
Un expert valide votre périmètre, la faisabilité, le calendrier et la stratégie de mise en location.
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SAS DORIC GROUPE – Siège Social : 12, rue Pierre Aimé Lair – 14000 CAEN – Tél. : +33(0)2.31.93.98.00 – au capital porté à 50.000 € – 492 379 979 R.C.S. CAEN – Titulaire de la carte n° CPI 1401 2015 000 001 726, délivrée par la CCI de Caen, portant la mention « transactions sur immeubles et fonds de commerce » – Responsabilité Civile Professionnelle : SERENIS ASSURANCES.